Gérer les eaux pluviales : bonnes pratiques

Paris Terres d’Envol favorise la gestion des eaux pluviales à la parcelle pour remédier aux conséquences de l’urbanisation.

Publié le – Mis à jour le

 Les techniques alternatives utilisées visent à infiltrer et/ou écrêter les débits de pointe de ruissellement et ainsi stocker temporairement la pluie. Les risques de mise en charge et de débordements sont ainsi diminués et les milieux récepteurs protégés.  
Cette gestion alternative des eaux concerne les grands projets urbains et également l’habitat individuel et collectif. 

L’urbanisation et ses conséquences modifient le cycle de l’eau  

  • Le ruissellement sur des surfaces imperméabilisées augmente le risque de débordements et inondations. 
  • L’alimentation en eau des couches superficielles du sol est diminuée. Les nappes souterraines, les cours d’eau et les zones humides ne sont pas ou peu approvisionnés. 
  • Les eaux de ruissellement sont souillées par les polluants et sédiments rencontrés sur les toitures et les revêtements de sols. 
  • En ville, l’évapotranspiration est diminuée, ce qui entraîne une augmentation sensible de la température et un microclimat qui nuit à la qualité de vie. 

Zonage d’assainissement

Le zonage d’assainissement des eaux pluviales impose la recherche de solutions permettant l’absence de rejet d’eaux pluviales (rejet « zéro ») afin de répondre aux règles du SAGE Croult-Enghien-Vieille Mer.  
En cas d’impossibilité, une gestion des eaux pluviales adaptée à chacune des huit zones délimitées dans le zonage est appliquée. 

Consulter le dossier de présentation du zonage d’assainissement des eaux usées et des eaux pluviales avec ses annexes

Gestion alternative des eaux pluviales

Documentation

Dimensionnement du volume utile

La méthode de calcul du Département se basant sur la pluviométrie locale devra être utilisée dans le cadre de la conception des techniques alternatives de stockage (bassin d’infiltration ou de rétention…).